31 mars 2005
Sur une mélodie de Staind...
La douce chaleur d’un trait de soleil perce la vitre de mon bureau. L’azur céleste paraît par endroit au dessus des feuillages des quelques arbustes et haut buisson cernant une des façades du palais. Un courant d’air bordé d’effluves printanières se faufile...