12 avril 2005
Belle, lointaine et insaisissable...
Il est des beautés
Qui dans le souvenir jamais ne s’éteignent
Il est des destinées
Qui dans cette vie jamais ne s’étreignent
Il est des êtres
Qui irrémédiablement jamais ne se lieront
Il est des paraître
Qui inévitablement jamais ne se briseront
Ô divine nymphe ! Ô magnifique ange !
Pardonnez ces rimes et ces louanges…
Ô douce néréide ! Ô charmante oréade !
Consentez à la langueur de cette aubade…
Nul doute que mes vers seront démunis
Nul doute que votre silence sera infini
Nul doute que jamais je ne vous oublierai
Nul doute que jamais vous ne me connaîtrez
Mais croyez en l’intense admiration
D’un inconnu et doux messager
Qui n’a de cesse et sans déraison
Chaque jour de vous contempler
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