7 décembre 2005
Une inconnue, Un train...
Dors Ô nymphe enivrante
Dors sous cette étoffe rosée
Caressant ta chair envoûtante
D’une languide douceur éthérée
Je devine les infimes soubresauts
De ton souffle endormi et serein
Elevant ce voile jeté sur ta peau
Aux rythmes de tes rêves sans fin
Mais ce si léger tissu soudain glisse
S’attardant timidement sur ton visage
Tel l’artiste dressant une esquisse
Effleure de son Art la Beauté sans âge
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