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"Mon dévidoir de l'âme"
"Mon dévidoir de l'âme"
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1 juin 2005

Un nouvel ordre Sith: Minion (partie II)

La navette de classe Thêta, nouvellement issue des chantiers astronautiques de Cygnus, jaillit de l'espace subluminique  en approche de l'orbite de la planète Dagobah, monde marécageux du système Sluis. L'arrêt des deux turbines ioniques provoqua une vibration dans l'astronef qui fut happé par le vide intergalactique. Je savais le monde de Dagobah étroitement surveillé par les croiseurs républicains sous l'impulsion du Conseil Jedi étant donné le « trésor » qu'il recelait pour tout adepte du côté obscur. Aussi nous fallait il éviter tout vol intersystémique  afin de ne pas être pas les senseurs  et les droïds espions de nos ennemis.
A l'aide de ses seuls propulseurs atmosphériques, notre navette perça la voûte nuageuse de Dagobah, guidée par les mains expertes de Caiad El'Endil qui négocia un atterrissage dans les règles de l'art, dans une clairière cernées de marécages.
« Quel le but de cette visite sur ce monde, mon maître ? interrogea t'il tandis que nous débarquions sur le sol humide de cette planète.
-Sois patient mon disciple, tu le sauras bien assez tôt... »
Mais aucun Sith n'est patient.
Je le guidai au travers de la végétation luxuriante et des marais jusqu'au pied d'une colline rocailleuse au somment usée par des millénaire d'érosion. Je lui dévoilai, derrière un rideau de plante grimpante et rampante, l'accès à une antre creusée dans la roche. La cavité semblait étendue et s'enfoncer profondément dans les entrailles de la planète. 
« Ne sens tu pas ? » murmurai je à Caiad El'Endil .
Celui ci resta un bref instant le regard posé devant lui, ses pupilles dilatées  envahissant  déjà une bonne part de son iris violacée trahissait son intense concentration.
« Si mon maître, je sens la puissance du Côté Obscur dans cette caverne. Elle est immense... Je sens aussi la mort... Qui est mort ici mon maître ? »
Je fus surpris par sa clairvoyance.
« Le seul et unique Seigneur Noir des Sith, Xendor lui même, a succombé à ses blessures, ici... »Soufflai je pensif.
Il a échoué ici après mon ultime attaque, il y'a dix ans de cela  et s'est terré dans cette grotte afin de fuir ma rage et la magie Sith...
« Lors de sa mort, continuai je, il est parvenu à  transférer toute sa puissance et son âme dans les parois de cette grottes, dans ce sol, dans cette roche, dans l'air que tu peux y respirer... »
Bref silence...
Il a ainsi su contrecarrer mes intentions et la magie Sith...
Je repris :
« Et selon une révolution cyclique de ce monde, son spectre apparaît régulièrement dans ce lieu et quiconque réussira à le terrasser s'accaparera toute sa puissance. »
Caiad El'Endil me fixait quelque peu stupéfait par mes révélations. Son esprit très rationnel avait quelque mal à appréhender ce genre de récit. Pourtant, il ne dît mot. La parole d'un maître ne subissait aucun doute ni aucune incertitude.
« Nombreux sont les Sith et apprentis qui ont tenté de défaire ce spectre mais tous ont péri... »
- Vous attendez de moi que je le combatte et que j'en sorte vainqueur, n'est ce pas mon maître ? fit il soudain.
J'acquiesçai.
« Tu as la puissance nécessaire pour le vaincre, sois en certain ! »
Il hésita un court instant pensif.
« Pourquoi ne l'affrontez vous pas vous même ?
- Je l'ai déjà affronté... Ce sont mes coups qui l'ont mené ici. Je n'attends plus rien à de lui... Mais toi, tu as tout à y gagner ! »
Une multitude de questionnements traversa son esprit, parcourant son regard violacé. Mais il resta muet, sa dévotion de disciple à l'égard de son maître submergeant sa curiosité.
Soudain son regard noircit, il s'insinua dans une intensive méditation. Je perçus son aura obscur s'accroître inexorablement, indéfiniment, bien au delà de celui de tout apprenti suivant leur enseignement sur Korrigan, au delà de celui de certains sith pourtant confirmés voire au delà de celui de certains maîtres même membres émérites du Minion. Son sabre laser jaillit de sa ceinture et vint se loger fermement dans sa poigne. 
«  Tu n'auras pas besoin de cela, soufflai je. Un sabre laser n'est d'aucune efficacité contre l'Essence du côté obscur ! »
Il posa son regard ténébreux sur moi avant de délaisser son arme. D'un pas assuré, la rage au cœur mêlée d'une once d'angoisse, il pénétra dans l'antre, sépulture du Seigneur Sith.
Il en sortira vainqueur et bien plus puissant...

Mon œuvre est en marche et ne cessera qu'à mon triomphe!

Parcouru d'une inspiration lente et régulière, quasiment imperceptible, assis non loin de la caverne où mon apprenti avait débuté ce combat qui devait changer le fil de son existence, -tout comme le mien contre le même être, mais de chair et de sang, avait changé la mienne-,  je tentai d'isoler mon esprit de son environnement directe et de l'imprégner de toute ma puissance obscure.
Le temps presse...
« La Force obscure est infinie. Elle est tout et tout est Force. Elle ne souffre ni de limite spatiale ni de limite temporelle. » m'avait jadis enseigné mon maître.
J'entrai dans une intense méditation que rien ne semblait pouvoir perturber. Pourtant tous mes sens demeuraient aux aguets, réceptifs à la moindre vibration de danger issue de ce monde.
Mon esprit éthéré se propagea au delà même de mon corps pour s'unir à l'essence énergétique même de la Force. Parcourant l'espace intersidéral de mon psychisme, j'investis rapidement l'atmosphère de Korriban avant de me concentrer plus précisément sur le Temple de Minionista où le Minion se livrait à d'âpres discussions entremêlées de leurs perpétuelles querelles. Leur avidité et leur haine réciproques obscurcissait leurs esprits, annihilait leur sens Sith, ils se plaçaient eux même, quoique non intentionnellement, en marge même de leur puissance obscure, ils se fermaient à celle ci, ce qui les rendait infiniment vulnérable à toute attaque au travers de la Force.
A moi d'agir...
J'intensifiai ma concentration.
Une onde psychique de Force se diffusa au travers de la salle circulaire et déferla telle une vague invisible et impalpable, au sien de chaque corps, de chaque esprit s'y trouvant. Les paroles tombèrent, les cris s'éteignirent , les gestes s'apaisèrent. Une lourde et inhabituelle sérénité s'était abattu sur les membres devenus muets et paralysés.
Cessez ces disputes inutiles et passez à la désignation du Seigneur Noir Sith...
« Cessons ces disputes inutiles et passons à la désignation du Seigneur Noir de Sith ! » lança Al Jarrad Moscue  à la manière d'un pantin de bois à qui le marionnettiste, par son doigtés, impose une ridicule révérence.
Mon doigté était incorporel et imperceptible mais mettait désormais  parfaitement en scène le drame se déroulant au sien de cette assemblée, selon mon propre synopsis. Et le dénouement m'en serait assurément favorable !
Votez...
«Votons ! » répéta Moscue en tout inconscience.
Je méprisais intensément ces membres du Minion. Ils ne devaient leur reconnaissance au sien de ce dernier qu' au vue de leur ancienneté et de leur âge pour la plupart avancé, qu'à leur réelle puissance et maîtrise du Côté Obscur. En effet, ils étaient tous des jedis originels, qui avait d'abord reçu l'enseignement  dû au Jedi lumineux avant de goûter à la saveur de la puissance des ténèbres. Leur pouvoir était inexorablement corrompu par leur réminiscence jedi et ils ne parviendraient dès lors jamais à rivaliser avec les capacités obscures d'un Sith, n'ayant été formé qu'au Côté Obscur, tel que moi ou mon ennemi juré Ajunta Pall qui fût le disciple de Moscue.
Je me méfiais de ce fourbe de Pall. Je le savais passé maître dans la manipulation psychique et la méditation guerrière. Et j'imaginais que lui aussi tenterait d'asseoir son influence sur le Minion afin d'obtenir un vote en sa faveur.
Pourtant, je ne percevais pas son aura sur l'assemblée.
Etrange... Serait il parvenu à bloquer mes sens ?
Je ressentis une brusque altération dans la Force..
Votez en faveur du seigneur Darth Seethus...
« Votons en faveur du... »
Ma méditation fut interrompue par une nouvelle perturbation plus intense de la Force.
Trop tôt, c'était beaucoup trop tôt !

Je sentis une présence massive non loin de moi. Une présence guerrière, accompagnée de droïds et de speeder de combat. Des fantassins de la République ! Ils n'étaient guère qu'une cinquantaine, en tout et pour tout et je ressentais intensément leur peur.
Mais je discernai également de manière précise l'aura de ce Jedi et de son apprenti qui commandaient, à l'aide de la Force, ce bataillon de conscrits.
Ni les senseurs de notre navette Thêta, ni même nos sens de Sith n'avaient surpris leur présence sur ce monde.
Des plus étranges...
Il me fallait agir promptement et envisager une tactique de défense efficace. Je devais contenir  au mieux cet assaut, le temps que mon disciple achève son épreuve.
La méditation guerrière...
Cette technique tant Sith que Jedi, quoique développée à son  paroxysme grâce au Côté Obscur, consistait simplement à user de suggestions psychiques pour mener ses propres armées à la victoire qu'à créer la chaos au sein des troupes ennemis notamment par le recours à d'illusion.
L'illusion tromperait les fantassins mais pas les jedis.
Qu'importe ! Deux jedis ne m'effraient pas...
J'armai mon sabre laser, tandis que le bataillon approchait à un pas rapide. Je révélai lentement une armée de Sith, en cape noire, sabre laser au poing , aux  yeux effarés des fantassins. Un voile d'angoisse paralysa le bataillon.
« Général, ils sont trop nombreux ! » lança le commandant du bataillon.
Le maître jedi se planta face à ses hommes et hurla d'une voix rauque :
« Ne vous laissez par tromper par le Côté Obscur ! Ce ne sont que des leurres ! Il est seul ! »
Ainsi ils n'ont pas décelé la présence de mon disciple !
« A l'assaut ! » ordonna le Jedi, faisant jaillir faisceau d'énergie bleuté de son sabre laser.
Le bataillon déferla sur moi, dans un grand fracas de blaster et de cris.
Dans un rugissement bestial je bondis au devant des mes assaillants repoussant les droïds d'un simple regard , évitant ou parant à l'aide de mon sabre les rayons des balsters.  Je me mêlai  à cette armée irréelle afin de me fondre dans cette hallucination. Ma lame fendait les chairs et métaux sans distinction, mes mains broyaient les os humains et ossatures d'aciers à distance, mes pensées élevaient les roches les plus lourdes pour les abattre sur mes adversaires.
Un cri rauque et brusque jaillit derrière moi.
Caiad El'Endil
Mon disciple s'abattit sur les fantassins, les terrassant de toute sa rage, démantelant les droïds et speeders de combat de sa puissance obscure.
«Ils sont deux ! »
Soudain une lame lumineuse para mon sabre laser.
Le maître jedi se mit en position offensive.
« Tu périras Sith ! » souffla t'il.
-Crois tu Jedi ?
Nos lames s'entrechoquèrent dans un fracas énergétiques, cinglant l'air de leur scintillement.
Un tourbillon de débris disparates de roches et métaux  s'éleva tout autour de nous, commença à tournoyer à une vitesse vertigineuse sous l'impulsion de nos puissances respectives. Les faisceaux de nos sabres se croisaient brutalement, vibraient sous la vigueur de nos attaques, glissaient l'une contre l'autre en un face à face d'une extrême ténacité. Le choc de ces  lasers s'accompagnait de projections de tout élément que notre environnement pouvait nous fournir, à l'encontre de l'adversaire : d'un simple regard ou geste infime de la main, des branches brisées,  des segments de minerais, des morceaux de droïds détruits voire des corps mortellement blessés  étaient propulsé farouchement contre l'un ou l'autre d'entre nous. Ce conflit entre le Côté obscur et l'aspect lumineux de la Force était à son paroxysme.
Mes sens firent une brève estimation de l'avancée de la bataille.
Caiad El'Endil  abattait férocement les droïds et troupes fantassins, dont une bonne part s'évertuait encore à combattre l'illusion de cette armée de Sith à coup de blaster. Il fondait sur le bataillon de la République, galvanisé par sa rage, dans un profond rugissement bestial, il décapitait et démembrait les corps, et éventrait les machines de sa force psychique.
Mais où est le padawan ?
Le jedi redoubla de vigueur à mon encontre, enchaînant les attaques et feintes, m'assaillant d'objets des plus hétéroclites si bien que je dus conserver une position défensive, évitant la multitude de ses assauts sans guère pouvoir répliquer.
« Aaru'nda misnal ya'ak  n' draah... » murmurai je..
Sauras tu parer la magie Sith, Jedi ?
Le sol vibra sous nos pieds, au prononcé de cette sombre incantation. Une gerbe de roches en fusion perça l' humus de ce monde dévasté par nos effusions de sang et s'éleva jusqu'aux confinements de l'atmosphère de Dagobah. Surpris et déstabilisé, le Jedi fit un bond en arrière pour éviter d'être happer par le feu des entrailles de ce monde mais je pus se rétablir. Profitant de cette faiblesse, j'abattis rageusement mon sabre laser sur son visage, mais mon coup fut dévié de sa cible par un faisceau émeraude.
Le padawan...
« Un padawan à la rescousse de son maître... C'est touchant ! »  ironisai je, reprenant une garde offensive, les poings fermement serrés sur mon arme.
Pourtant le comportement des deux jedis se modifia, une certaine sérénité se substituant à l'âpreté se de l'assaut.
« Cessez les combats ! Nous battons en retraite ! » ordonna brusquement le maître Jedi.
Le bataillon s'exécuta en un acquiescement général et soulagé, avec une rapidité de réalisation assez étonnante.

Caiad El'Endil me rejoignit quelque peu dérouté par cette ordre soudain.
« Lâche ! Cloporte ! Revenez vous battre, je n'en ai pas fini avec vous ! » hurla t'il  férocement.
Lâche ? Non... Tacticien ? Oui...
« Rejoignons la navette ! J'ai un mauvais pressentiment... »
Je prononçai tout juste ces mots lorsqu'un éclair luminescent fendit les cieux et  vint s'abattre non loin de nous dans une explosion dévastatrice.
« Ils nous bombardent ! »
Fins tacticiens...
Caiad El'Endil pénétra d'un saut dans l'habitacle de la navette et en prit les commandes, que je lui laissai volontiers sachant qu'il était meilleur pilote que je ne l'avais jamais été.
L'astronef s'éleva du sol marécageux  de Dagobah cerné par les déflagrations et malmené par leur souffle, mon disciple mettant tout son talent immense en œuvre afin d'éviter les tirs des torpilles à protons.
La navette Thêta quitta enfin l'atmosphère de ce  monde et nous pûmes apercevoir le croiseur stellaire qui nous bombardait et manœuvrait  pour nous prendre en chasse et nous frapper de ses canons blasters.
Un cuirassé de classe invincible...
Ce croiseur avait été développé par les chantiers galactiques de Rendili et étaient les plus avancés de leur génération.
« Dès que tu le pourras, passe en vitesse subluminique »ordonnai je. Le combat est inégal et inutile... »
- Quelles coordonnées, mon maître ?
- Système Tatoo, dans La Bordure Extérieure. Nous nous rendons sur Tatooine...
Caiad El'Endil me jeta un regard stupéfait. Malgré son air serein, cette pupille noire qui envahissait la totalité de son orbite oculaire trahissait son intense concentration.
« Tatooine n'est qu'un énorme caillou désertique peuplé de mercenaires, contrebandiers ou chasseurs de primes et dirigés par les Hutt, murmurai-je alors que les scintillements caractéristiques de l'entrée dans l'Hyperespace envahissaient l'extérieur du cockpit.
«  Mais depuis que la République a déclaré une guerre sans merci aux contrebandiers, ses émissaires républicains et ses partisans ne sont plus les bienvenus sur ce monde. Qui plus est, les Hutts ont toujours voué une haine farouche à l'encontre des Jedis. Là bas nous serons en sécurité... »
- Mais que ferons nous sur Tatooine mon maitre ?
- Nous troquerons cette navette contre une autre...
Mon apprenti parut un instant déconcerté.
Je souris.
« Ils étaient en surnombre, ils auraient pu nous terrasser aisément, pourtant ils ont fui... Ce croiseur Cuirassé est un des plus puissamment armés et des plus rapides vaisseaux  de la flotte de la République, pourtant nous avons pu fuir... S'il en avait réellement après nous, pourquoi ne pas nous avoir emprisonné dans ses faisceaux tracteurs ?
C'était un piège ! »
Traître de Ajunta Pall...
«  Ce combat sur Dagobah était une diversion pour permettre certainement d'implanter une puce-espion sur notre carlingue et nous suivre ainsi jusque sur Korrigan...
Voilà pourquoi le padawan n'a t'il pas pris part au combat !
« C'est l'apprenti jedi qui a placé le mouchard ! » lança Caiad El'Endil, à ma grande surprise.
Ce ne fut qu'alors que je pris conscience de cette nouvelle et puissante énergie obscure qui jaillissait de lui.
La puissance de Xendor... Il est parvenu à vaincre le spectre !
«  Nous irons dans un rade intergalactique de Mos Eisley sous l'identité de contrebandier de Bronzium. Là, nous trouverons bien une âme assez vile pour accepter notre offre ! »
Ce serait particulièrement simple ! Un barrage psychique serait suffisant pour dissimuler nos personnalités Sith aux yeux des habitants de Mos Eisley. La seule difficulté consistait à éviter tout contact avec un Hutt : cette race n'étant pas sensible aux manipulations psychiques de la Force, il dévoilerait inévitablement notre supercherie.
J'avais à plusieurs reprises usé d'un tel stratagème afin de visiter les rades de la Galaxie. En effet, les pilotes les plus émérites avaient une singulière et inconsciente faculté à juguler la Force et à se fier à Elle. Et ce fut d'ailleurs, dans astroport que j'avais rencontré ce métisse mi homme mi bothan qui devint ensuite cet apprenti si puissant. Je l'avais découvert dans un bar du centre de Mos Eisley même, attablé  auprès de son père. J'avais décelé en lui une immense énergie qui ne demandait qu'à être domptée. Apparemment sans raison, je m'étais approché de son géniteur et l'avait sournoisement et arbitrairement décapité de mon sabre laser devant le regard effrayé et médusé du petit Caiad. Cette assassinat déraisonné de son père avait provoqué en lui une infinie colère, recherchée, nécessaire et salutaire pour le déploiement  en lui du Côté obscure. Même encore désormais distinguais je en lui une dualité entre cette haine qu'il me vouait et sa dévotion. Et chaque jour, je maintenais ou intensifiais ce sentiment car il était la source même de sa puissance.
« Maitre, nous approchons du secteur de Tatoo... »
Bien.

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Commentaires
A
Je crois que c'est encore mieux de les lire sur ton blog ...!!!
"Mon dévidoir de l'âme"
  • Coucher mes pensées sur un écran vierge est comme un exutoire. Y dévercer mon flot de songes et de reflexions, y étaler la nudité de mon âme sans artifice, voilà la raison d'être de ce blog...
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